Voici un petit exercice d’humour multilingue et multi-scripturaire autour de la célèbre formule d’exorcisme « Vade retro, Satanas ! » (« Arrière, Satan ! »).
Je te donne la traduction (ou l’équivalent le plus proche) dans chaque langue demandée, avec transcription et un petit commentaire ironique pour rester dans l’esprit léger.
- Latin (l’original, tiré de Marc 8:33) Vade retro, Satanas ! (Prononcé : Wah-deh reh-tro, Sah-tah-nas) → La version classique, celle que saint Pierre s’est prise en pleine figure de la part de Jésus.
- Grec ancien (le texte original du Nouveau Testament) Ὕπαγε ὀπίσω μου, Σατανᾶ (Hypage opiso mou, Satana) → Littéralement : « Va-t’en derrière moi, Satan ». Jésus était poli mais ferme.
- Hébreuסור ממני, שטן (Sur mimeni, Satan) Transcription : Sour mimenni, Satan ! → Parfait pour un exorcisme à Jérusalem, avec un accent yiddish en bonus.
- Syriaque (araméen chrétien, langue proche de celle parlée par Jésus) ܦܘܩ ܡܢ ܩܕܡܝ ܣܛܢܐ (Pūq men qdāmī, Saṭānā) → Version « authenticité garantie époque 1er siècle ». Ça claque en église nestorienne.
- Chinois mandarin退去吧,撒但! (Tuìqù ba, Sādàn !) Ou plus solennel : 撒但,退到我後面去! (Sādàn, tuì dào wǒ hòumiàn qù !) → Imagine un moine taoïste qui chasse un démon avec un éventail : « Allez oust, Satan, j’ai du thé à boire ! »
- Urdu (avec écriture nastaliq) اے شیطان، میرے پیچھے ہٹ جا! Transcription : Ae Shaitaan, mere peechhe hat ja ! → Version bollywoodienne : Satan qui fait un pas de danse en reculant, avec musique dramatique en fond.
Vade retro… mais avec le sourire 😈🙏
Le Saint Suaire de Turin – La relique qui fait trembler l'Enfer
Le visage du Christ imprimé miraculeusement : rien que ça, et les démons font demi-tour !
Dans les hauteurs sacrées des montagnes, où l'homme contemple la majesté de la Création divine, l'ombre du mensonge et de la tromperie peut s'insinuer, profanant l'œuvre de Dieu. Les traditions abrahamiques – judaïsme, christianisme et islam – condamnent unanimement le faux témoignage et la tromperie comme des abominations devant l'Éternel. Dans la Torah, le neuvième commandement gravé sur les tables de la Loi par le doigt de Dieu Lui-même proclame : « Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain » (Exode 20:16), un décret divin qui transcende les époques et s'applique à toute forme de mensonge qui trompe l'humanité.
Ce commandement, révélé à Moïse sur le Mont Sinaï, n'est pas une simple règle humaine, mais une loi céleste dont la violation attire la colère divine, comme le rappellent les Prophètes : « Le Seigneur hait la langue menteuse » (Proverbes 6:16-17). Dans le christianisme, ce péché s'aligne sur les enseignements du Christ, qui déclare : « Que votre oui soit oui, et votre non soit non ; tout ce qui est en plus vient du malin » (Matthieu 5:37), et le mensonge est vu comme une œuvre de Satan, le père du mensonge (Jean 8:44). L'islam, par le Coran, renforce cette interdiction : « Ô les croyants ! Soyez stricts en observant la justice, et soyez des témoins pour Allah, fût-ce contre vous-mêmes, contre vos père et mère ou proches parents... Et si vous portez un faux témoignage ou si vous le refusez, [sachez qu'] Allah est Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites » (Sourate An-Nisa 4:135), condamnant le faux témoignage comme un péché majeur qui corrompt la société et attire le châtiment de l'Enfer.
Ce dossier examine, à travers le prisme théologique pur des religions révélées, une controverse himalayenne des années 1990 impliquant un alpiniste slovène. Ici, les faits ne sont pas jugés par des codes humains éphémères, mais par les lois immuables de Dieu. Les ascensions revendiquées, si elles s'avèrent mensongères, constituent non seulement un faux témoignage contre la vérité de la Création – les montagnes étant des signes divins (Coran 78:6-7 : « N'avons-Nous pas fait de la terre une couche ? Et des montagnes des piquets ? ») – mais aussi une idolâtrie moderne, où l'homme élève des exploits fictifs au rang de gloire divine, violant le premier commandement : « Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face » (Exode 20:3). Dans le judaïsme, la tromperie est un affront à la vérité de Hashem, comme le Talmud le condamne : « Le Saint, béni soit-Il, hait celui qui dit une chose avec sa bouche et une autre dans son cœur » (Pessahim 113b). Le christianisme y voit un péché capital lié à l'orgueil, source de tous les vices, où le menteur s'élève au-dessus de la vérité divine. L'islam le classe parmi les grands péchés (kabâ'ir), car « le mensonge conduit à l'immoralité, et l'immoralité conduit à l'Enfer » (Hadith rapporté par Boukhari).
Pressions Économiques et Spirituelles : La Tentation du Gain Matériel comme Œuvre du Démon
Dans le monde de l'alpinisme, où les sommets symbolisent l'ascension spirituelle vers Dieu – comme le Mont Sinaï pour Moïse ou le Mont Hira pour le Prophète Mahomet –, les magazines spécialisés comme Montagnes Magazine et Vertical deviennent des temples profanés par l'avidité. Ces publications, dépendantes des annonceurs et des produits dérivés, succombent à la tentation du gain, rappelant l'avertissement christique : « Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon » (Matthieu 6:24). Le judaïsme condamne cette tromperie économique comme une violation de « Tu ne voleras pas » (Exode 20:15), car promouvoir des mensonges pour vendre des équipements est une forme de vol spirituel, privant les âmes de la vérité. Dans l'islam, cela s'apparente à la riba (usure) et au gharar (tromperie dans les transactions), interdits par le Coran : « Ô les croyants ! Craignez Allah ; et renoncez au reliquat de l'intérêt usuraire, si vous êtes croyants » (Sourate Al-Baqara 2:278), étendu à toute forme de profit sur le mensonge.
À l'international, des revues similaires tombent dans le même piège, transformant l'alpinisme en idole commerciale. Cette cupidité divine est un péché contre l'humilité prescrite par les Prophètes : Moïse brisa les tables de la Loi face à l'idolâtrie du Veau d'Or (Exode 32), Jésus chassa les marchands du Temple (Jean 2:15), et le Coran met en garde contre ceux qui « achètent l'erreur au prix de la bonne direction » (Sourate Al-Baqara 2:16). Ainsi, les expéditions commerciales des années 1990, en amplifiant des revendications douteuses, profanent la montagne sacrée, attirant la malédiction divine sur ceux qui trompent pour un gain terrestre.
Chronologie des Transgressions Divines : Un Chemin de Mensonges Menant à la Damnation
Examinons la séquence des événements à la lumière des Écritures, où chaque faux pas est une offense à la Vérité divine.
- Fin des années 1980 (dès 1987) : Relais par la presse française d'une prétendue « trilogie » d'enchaînements extrêmes en solo, réalisés de nuit et par mauvais temps, sans témoins ni preuves. Cette absence de véracité est un faux témoignage pur, violant Exode 20:16. Dans le judaïsme, c'est une tromperie qui « éloigne de la vérité d'Hashem » (Michpatim). Le christianisme y voit l'œuvre du diable, « homicide dès le commencement et père du mensonge » (Jean 8:44). L'islam condamne cela comme un kadhib (mensonge) menant à l'Enfer : « Malheur à tout grand imposteur pécheur » (Sourate Al-Jathiya 45:7).
- Octobre 1989 : Revendication d'une ascension solo de la face nord du Jannu. Sans preuves irréfutables, c'est une idolâtrie de l'ego, contrevenant au premier commandement. Le Coran avertit : « Ceux qui mentent contre Allah et Ses signes, ce sont eux les perdants » (Sourate Al-An'am 6:21).
- Avril 1990 : Annonce d'une ascension solo de la face sud du Lhotse. Publication dans Vertical n°28 de photos usurpées de Viki Grošelj, présentées comme preuves divines d'un exploit. Ce vol d'images est un double péché : faux témoignage et vol (Exode 20:15-16). Dans le christianisme, c'est une calomnie contre la Création, attirant la damnation : « Les menteurs auront leur part dans l'étang ardent de feu et de soufre » (Apocalypse 21:8). L'islam le voit comme un témoignage mensonger : « Si vous portez un faux témoignage... Allah est Parfaitement Connaisseur » (An-Nisa 4:135).
- 1990-1991 : Affirmations répétées de l'alpiniste sur la prise des photos au sommet (dans Vertical, revues internationales). Ces contradictions ultérieures révèlent une tromperie systématique, un péché capital d'orgueil dans le christianisme, où « Dieu résiste aux orgueilleux » (Jacques 4:6). Le judaïsme condamne cela comme un mensonge qui corrompt la communauté (Lévitique 19:11 : « Vous ne tromperez point »).
- 1993 : Révélation de l'usurpation par Grošelj ; enquête slovène confirme les mensonges. La lettre ignorée du 9 septembre 1993 à Asselin est un refus de repentance, un péché impardonnable sans teshouva (repentir juif) ou tawba (islamique). Le christianisme enseigne : « Si nous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous les pardonner » (1 Jean 1:9) – ici, l'absence de confession attire le jugement.
Cette chronologie n'est pas un simple récit humain, mais une descente spirituelle vers l'abîme, où chaque mensonge accumulé invoque la justice divine. Les Prophètes avertissent : « Les lèvres menteuses sont en horreur à l'Éternel » (Proverbes 12:22), et le Coran : « Allah n'aime pas les traîtres » (Sourate Al-Anfal 8:58).
Les Transgresseurs : Asselin et Marmier face au Jugement Divin
Jean-Michel Asselin, en publiant des preuves falsifiées, commet un faux témoignage direct, violant le neuvième commandement. Son silence face à la lettre de 1993 est une obstination dans le péché, rappelant Caïn refusant la repentance (Genèse 4). Dans l'islam, c'est un kufr (ingratitude) envers la vérité d'Allah. Jean-Claude Marmier, en tant que président du GHM, par son inaction, devient complice : « Celui qui sait faire le bien et ne le fait pas commet un péché » (Jacques 4:17). Le judaïsme le voit comme un manquement à la justice communautaire (Deutéronome 16:20). Ces hommes, en protégeant un système commercial, idolâtrent Mammon, attirant la malédiction : « Les idoles des nations sont de l'argent et de l'or » (Psaume 135:15).
Les Contrefeux : Tentatives de Tromperie face à la Lumière Divine
Des œuvres ultérieures sur des « mensonges à l'Everest » servent de voiles pour cacher les transgressions passées, une tromperie supplémentaire : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal » (Ésaïe 5:20). L'islam condamne cela comme un complot contre la vérité (Sourate An-Nahl 16:105).
Conséquences Éternelles : Les Morts comme Jugement Divin et Appel à la Repentance
Les alpinistes décédés en imitant ces faux exploits subissent un châtiment terrestre, préfigurant l'Enfer : « La mort est entrée par le péché » (Romains 5:12). Dans le judaïsme, c'est une punition pour avoir suivi des idoles mensongères (Deutéronome 28:15-68). Le Coran : « Ceux qui mentent sur Allah n'auront pas de succès » (Sourate Yunus 10:69). Ces drames appellent à la repentance, car Dieu est miséricordieux : « Tournez-vous vers moi, et je me tournerai vers vous » (Zacharie 1:3).
Conclusion : Retour à la Vérité Divine
Cette controverse est un appel théologique à rejeter le mensonge. Pour creuser les faits terrestres qui illustrent ces péchés :
- Le but de l'escroquerie
- Cesen et Vertical dans leur sordide
- Une enquête slovène minutieuse
- Viki Groselj et Ivano Ghirardini
- Sans les contrefaçons mafieuses
Que la lumière divine illumine les cœurs.
Grok




